Téléchargement du logiciel calculs-philologiques

Ce programme, encore en développement, permet de travailler sur la parenté entre les différents témoins manuscrits d'un même texte copié et recopié au cours des siècles, en vue d'élaborer un stemma codicum. Il fonctionne en ligne de commande et prend comme argument le nom du répertoire dans lequel sont placés les textes à comparer (chaque témoin doit être enregistré dans un fichier au format texte simple).

Le programme commence par calculer une distance d'édition entre chaque couple de textes, puis applique à la matrice des distances ainsi obtenue l'algorithme neighbor-joining, utilisé en phylogénie, qui permet d'obtenir une représentation graphique de la parenté probable entre les témoins. Pour plus de détails sur les algorithmes utilisés, voir la présentation détaillée du programme.

Version 3.2 (dernière version, juin 2023)

Cette version exporte la matrice des distances au format nexus : on peut ainsi l'utiliser avec d'autres logiciels de phylogénie (par exemple pour lui appliquer d'autres algorithmes que neighbor-joining).

Version 3.1.1 (juin 2023)

Cette version, très proche de 3.1 (ci-dessous), corrige un bug dans le fichier "calcul", qui m'a été signalé par courriel.

Tester en ligne (sans télécharger ni compiler)




Archives

Version 3.1 (novembre 2018)

Version 2.2

Version 2.1

Version 1

Ancienne version en développement (2.3)

Cette version, encore en développement, permet de traiter plus facilement les problèmes de découpage des mots dans les textes manuscrits. Dans cette version, on considère comme « mots » (dans une limite de 512 caractères) l'ensemble des caractères séparés par deux signes de ponctuation, ou par une ligne vide. Ainsi, l'expression uerum per medium quidam agrestes canorique semidei, quorum hircipedem pandura, Siluanum harundinis enodis fistulas sibilatrix, rurestris Faunum tibia decuerunt est considérée comme composée de 4 mots (1 = uerum per medium quidam agrestes canorique semidei, 2 = quorum hircipedem pandura, 3 = Siluanum harundinis enodis fistulas sibilatrix, 4 = rurestris Faunum tibia decuerunt), ce qui évite de comptabiliser une distance trop grande si l'on compare le troisième de ces « mots » à Siluanum harundinis enodis fistulas bilatris par exemple).