Les relations Homme-Chimpanzés-Gorilles

Rapprochons-nous de notre égoïste petite branche humaine en regardant rapidement le problème des relations entre l'Homme et les deux autres genres actuels d'Hominidés. Après quoi, on pourra tenter de passer aux parents encore plus proches, mais disparus, de l'Homo sapiens que nous sommes, les Australopithèques et les autres espèces du genre Homo.

N'espérez cependant pas lire ici tout les tenants et aboutissants de ces deux sujets. Certains spécialistes en ont déjà tiré des kyrielles d'articles, voire des livres entiers, que je ne peux que vous encourager à consulter. Parmi les paléoanthropologues eux-même circule d'ailleurs le bon mot qu'il y aurait aujourd'hui plus de paléoanthropologues que de fossiles d'Hominidés à étudier.

Vous pourrez donc trouver des informations complémentaires dans les ouvrages suivants ( ouvrages en français, liste excessivement succinte) :


Le paradoxe (à première vue) :

Les différences morphologiques (= phénétiques) entre l'Homme et ses deux cousins sont nombreuses et paraissent importantes (sans même parler des différences de capacité intellectuelle). Par contre, en terme de différences caryotypiques (nombre, forme et organisation des chromosomes) ou génétiques (différences entre gènes de même fonction), les trois genres sont très proches :

Comprendre complètement la séparation du groupe des Australopithèques (dont se détachera à son tour le groupe qui formera le genre Homo), et des autres Hominidés ne peut donc passer par la seule comparaison des formes actuelles d'Hominidés, mais impliquera aussi les données paléontologiques et paléoclimatologiques.

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Date de création : Décembre 2005.

Cyril.Langlois.95@normalesup.org
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