5- Commandes d'options
Les pages paires seront modifiées en ce sens que les marges droites
et gauche seront interverties, la position du numéro de page sera
celle donnée par les quatrième et cinquième arguments de
la commande #, les en-tête et pied de page des pages paires seront
imprimés.
Les pages seront toutes imprimées comme des pages impaires. Toutes
les directives relatives aux pages paires seront ignorées.
et
. Si n=1, les figures sont
inhibées, la place est laissée pour celles-ci mais elles ne sont
pas imprimées (sans incidence sur le niveau de protection du secret)
sinon leur résolution est dégradée d'un facteur n en Postscript
(n=0 équivalent à
).
n est le niveau de secret de la page à sauter entre la page courante
et la page suivante. Cette commande ne termine pas la page courante,
seulement une page (ou plusieurs éventuellement) vides seront imprimées
entre la page courante et la prochaine page imprimée.
avec la syntaxe moderne
[note]
limitée à 4999.
.
espacées de e pouces/cm. Cette commande termine la section courante,
en particulier entraîne la pagination du texte précédent (égalisation
des colonnes et mise en page). Si l'on tape en colonne multiple, un
changement de marges latérales termine la section. Pour changer localement
les marges en multicolonnes, utiliser les marges additionnelles exclusivement.
dans la page suivant la page courante. Cette figure sera protégée
au niveau de secret n, et pourra être des trois formats acceptés
par la commande
et sera agrandie au maximum pour entrer entre les 4 marges de la feuille.
dans la fonte numéro n. La fonte n ne doit pas avoir
déjà été utilisée dans la page courante (attention
aux pied de page et en-tête). La nouvelle fonte (recherchée dans
le directory EASYX11DIR remplace la fonte n précédente.
Le texte est écrit dans la largeur du papier (généralement
la dimension la plus réduite, mais ce n'est nullement nécessaire)
Cette commande ne peut être appelée que si la page est encore
vide.
(landscape en franglais) Le texte est écrit dans la hauteur
du papier (généralement la dimension la plus longue de la feuille).
Cette commande ne peut être appelée que si la page est encore
vide.
Les superespaces sont remplis de pointillés dans la page courante
et les suivantes (effet rétroactif sur le début du paragraphe
courant). Cette option est parfois utilisée pour les tables des matières.
Les superespaces sont blancs à partir de la page suivante (effet
rétroactif sur le début du paragraphe courant).
Détermine le décalage vertical entre un bloc et un bloc mis
en indice ou exposant (voir en fin de description des macros).
Détermine la séparation verticale entre les blocs composant une
fraction, une limite ou une racine et le trait horizontal.
Règle la position des bornes d'intégrations par rapport au signe
.
règle l'espace entre les signes de sommation, produit, intersection...
discrètes et leurs bornes.
Donne l'épaisseur en pixel des traits utilisés pour les formules,
les cadres etc.
Le rendu raster (visualisation, sortie HTML et impression en raster) est
plus rapide pour les petits Postscripts, mais cela peut être dangereux
si un élément Postscript est projeté hors de la feuille
(peut provoquer une erreur mortelle = core dump du pMATH). À
défaut, cette option est désactivée, toute utilisation d'un
tab arrière, d'un
ou d'un
interdit
le tracé direct pour la page courante et la suivante.
cette option (c'est le défaut au démarrage de l'impression) utilise
les informations métriques enregistrées dans les fontes pour espacer
les caractères.
option antagoniste de la précédente. L'espacement entre les caractères
sera de e (avec une métrique d
)
et donc l'espace des caractères sera différent pour chaque paire
de caractères. L'avantage est que les espaces seront plus agréables
entre deux fontes d'inclinaisons différentes, et d'une façon générale
pour les fontes inclinées (enfin à mon goût, ce qui est
toujours discutable). Cette option a comme inconvénient majeur de fortement
ralentir le calcul des pages, puisque cela implique de recalculer l'espacement
entre paires de caractères du texte.
le caractère c est défini en remplacement de la séquence
de lettres lig. Fonction utilisée par exemple pour coller les
«fi», les «fl» voire les «ct» ou les «st»
dans certaines fontes, ou en allemand pour transformer «ss» en
. Les ligatures doivent
être désactivées sur la ligne physique contenant cette fonction
(pour une raison évidente...).
les ligatures seront substituées à partir de la prochaine ligne
physique.
les ligatures ne seront plus substituées à partir de la prochaine
ligne physique.
active la coupe automatique des mots avec un algorithme simpliste (de
toute façon la règle de césure en français est une
horreur, car elle est bourrée d'exceptions étymologiques). Cette
fonction n'est recommandée que pour les impressions en colonnes multiples
étroites. Si un mot est mal coupé, l'introduction d'une ou plusieurs
coupes optionnelles (commande -) règle généralement le problème.
.
cette macro met les deux caractères en contact puis recule encore
de cette quantité (2 pixels par défaut).
enpèche les n premières lignes d'être séparées sur
des pages ou des colonnes différentes.
enpèche les n dernières lignes d'être séparées sur
des pages ou des colonnes différentes.
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