6- Les macros d'impression


Les macros sont obtenues en tapant sur F5 puis sur une touche, elles contiennent un certain nombre d'éléments séparés généralement par des macro espaces (obtenus en tapant F5 puis espace). Ces éléments peuvent eux­mêmes contenir des macros[formule]. [note] Dans certains cas (matrices accolades et listes) des séparateurs de ligne (F5 puis virgule) et des terminateurs (F5 puis point) sont utilisés. Les éventuels arguments numériques sont délimités de la même façon que pour les commandes. Certains paramètres cosmétiques des macros sont modifiables par le menu «Options» (cf chapitre ci­dessus).
[formule] [formule] l'élément exp est décalé vers le haut de telle façon que le bord inférieur descende un peu en dessous du haut du caractère générique de la fonte active au moment où la macro est rencontrée. Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] l'élément exp est décalé vers le bas de telle façon que le bord supérieur monte un peu en dessus du bas du caractère générique de la fonte active au moment où la macro est rencontrée. Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] combine les deux opérations précédentes au même niveau (pour se souvenir de l'ordre, penser à l'ordre alphabétique ... e f g h i ...). Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique une fraction de numérateur num et dénominateur den. Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique une flèche de limite avec cnd au dessus, var en dessous. Exemple :
f(t,x)[formule]g(x) [formule]
[formule] [formule] fabrique un sigma avec inf dessous et sup dessus. Exemple :
[formule]i[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique un pi avec inf dessous et sup dessus. Exemple :
[formule](i+1) [formule]
[formule] [formule] fabrique une union avec inf dessous et sup dessus. Exemple :
[formule]E[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique une intersection avec inf dessous et sup dessus. Exemple :
[formule]E[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique une intégrale avec inf en bas à droite et sup en haut à droite. Exemple :
[formule]f(t)dt [formule]
[formule] [formule] fabrique une racine avec rad dedans. Exemple :
[formule] [formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique un conjugué de sur. ATTENTION : cette macro est avec Y la seule pour laquelle il est obligatoire d'utiliser une majuscule (la macro x est la juxtaposition horizontale). Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] fabrique sou souligné. Exemple :
[formule] [formule]
[formule] [formule] met inf sous et sup sur ope continue à droite de ope. Permet de réaliser des opérateurs style sigma. Exemple :
[formule] f(i) [formule]
[formule] [formule] met les lignes les unes au dessus des autres, espacées de l'interligne incompressible (commande [formule]), en les justifiant en fonction de la justification en cours à l'appel de la macro. t est un entier désignant le style : 0=sans rien 1=avec accolade 2=avec vermicelle[formule] [note] 3=avec barre verticale 4=avec crochet 5=avec parenthèse. Exemple :
[formule] [formule] [formule] [formule] [formule]
[formule] [formule] met les lignes les unes au dessus des autres, sans espacement vertical, en les justifiant en fonction de la justification en cours à l'appel de la macro. t est un entier désignant le style : 0=sans rien 1=entre crochet 2=entre parenthèses 3=entre barres -1=crochet à gauche -2=parenthèse à gauche -3=barre à gauche. La différence avec la macro précédente est que les lignes sont collées les unes au dessus des autres. Exemple :
[formule] [formule] [formule] [formule] [formule]
[formule] [formule] à p lignes et n colonnes. t décrit le type d'encadrement : 0=sans rien 1=entre crochets 2=entre parenthèses 3=entre barres verticales 4=dans un cadre 5=tableau en colonnes 6=tableau en lignes 7=tableau en cases. Si t=5, 6 ou 7 une colonne ou une ligne vide produit une ligne épaisse. L'espacement vertical est donné par la commande [formule] si l'encadrement est 0, 1, 2, 3, 4 ou 5, sinon, l'espacement vertical est nul (limité par le cadre). L'espacement horizontal est un espace de la fonte courante si l'encadrement est 0,1,2,3,4 ou 6, sinon l'espacement horizontal est nul (limité par le cadre). Les éléments peuvent être justifiés indépendamment les uns des autres avec la convention suivante : La justification d'un élément se propage par défaut à tous les éléments en dessous et à droite de lui. Exemples :
[formule] [formule]
[formule] [formule][formule]
[formule] [formule] met exp en exposant de la dernière lettre, une formule étant assimilée à une lettre, cela permet de mettre un exposant à une formule. Exemple :
[formule][formule] [formule]
[formule] [formule] met ind en indice de la dernière lettre, une formule étant assimilée à une lettre, cela permet de mettre un indice à une formule. Exemple :
[formule][formule] [formule]
[formule] et [formule] [formule] de taille n (entier positif ou nul) soit n+1 fois la hauteur du caractère générique de la fonte 1. Exemple :
[formule][formule][formule][formule][formule][formule] [formule]
[formule] et [formule] [formule] de taille n (entier positif ou nul) soit n+1 fois la hauteur du caractère générique de la fonte 1. Exemple :
[formule][formule][formule][formule][formule][formule] [formule]
[formule] et [formule] [formule] de taille n (entier positif ou nul) soit n+1 fois la hauteur du caractère générique de la fonte 1. Les caractères L ou J utilisés sont mnémotechniques, l'empattement du L comme du J rappelle le sens du trait inférieur du crochet ouvrant ou fermant. Exemple :
[formule][formule][formule][formule][formule][formule] [formule]
[formule] [formule] de c au dessus de C. Les deux caractères sont espacés de façon constante. La macro peut être immédiatement précédée d'un changement de couleur ou de fonte. ATTENTION : cette macro est nécessairement en minuscule. Exemple :
[formule], [formule] et [formule] [formule]
[formule] [formule] de c à la droite de C. Les deux caractères sont soudés. ATTENTION : cette macro est nécessairement en minuscule. Cette macro est influencée par les options [formule], 21 et 27. Exemple :
L[formule]titia [formule]uvre dans [formule] [formule]
[formule] [formule] de c et de C. L'espacement dans le mot est celui de C. ATTENTION : cette macro est nécessairement en majuscule. Exemple :
[formule] [formule] [formule]
[formule] [formule] permet de traiter tout un texte comme s'il s'agissait d'une seule lettre. l est sa largeur et h est sa hauteur minimale : si le texte est moins haut que h il est centré verticalement au milieu du bloc. L'alinéa peut être modifié dans la macro, mais les alinéas négatifs ne sortent pas du bloc. Le texte peut contenir des macro ou des commandes quelconques, sous la restriction que (1) les commandes de coupe optionnelle, coupe avec tiret, chasse ligne, retour à la ligne et superespace ([formule], [formule], [formule], [formule] et [formule]) sont changées respectivement en macros de même nom ([formule], [formule], [formule], [formule] et [formule]) (2) les commandes de saut de lignes et saut de page conditionnel ou à la page impaire ([formule], [formule], [formule] et [formule]) sont interdites. (3) La justification ainsi que les marges additionnelles utilisées pour une ligne sont celles au niveau du [formule], [formule] ou [formule]. (4) Certaines erreurs dans le texte peuvent être détectées tardivement quand on donne la largeur du bloc : en particulier, les mots trop longs, les alinéas ou les tabulations trop larges ne sont détectés qu'après coup. Attention aussi aux macros non fermées qui se «referment» sur la coupe optionnelle suivante.
[formule] [formule] similaire à la macro précédente mais sur plusieurs colonnes de longueur approximativement égales.
[formule] [formule] (si t>0) ou sur (si t<0) le texte avec un grand caractère de regroupement (comme pour la macro | c'est-à-dire 1=accolade, 2=trait ondulé 3=barre 4=crochet et 5=parenthèse). Le bloc correspondant est ajusté dans la ligne sans tenir compte de la largeur du commentaire, ni de celle du caractère de regroupement. Le caractère de regroupement a une taille arrondie au multiple de la hauteur de la fonte auxiliaire le plus proche.
Ceci [formule] un [formule] de macro W [formule]
[formule] [formule] sur, au dessus et en dessous de la ligne.
[formule]
[formule] [formule] sur, au dessus et en dessous de la ligne. Si l ou h est nul, le pavé est invisible, mais il occupe toujours de la place. Un tel pavé «invisible» peut être utilisé pour repousser des éléments voisins. On peut par exemple utiliser un tel pavé au dessus de la ligne avec un déplacement de bloc (cf ci-dessous) pour accrocher les titres de chapitres au premier paragraphe du chapitre (il suffit de taper le titre juste au début du premier paragraphe et de le déplacer vers le haut et d'ajouter un trait invisible qui monte au dessus de la ligne d'un peu plus du décalage vertical. Une macro utilisateur peut être définie pour faire cela de façon automatique).
[formule]
[formule] [formule] place derrière le bloc, un pavé de la couleur courante (au moment du [formule] final) dont les coins sont arrondis au rayon r (si 0 les coins sont carrés) et décalé de dx vers la droite et dy vers le bas (dx et dy pouvant être négatifs). Si la macro est en majuscule ([formule]) le bloc résultat est plus grand de l'épaisseur d'un trait. Cette macro sert à fabriquer des boîtes de titre et leurs ombres exemples :
[formule] [formule]
[formule] [formule]
[formule] [formule] Cette macro met une ombre aux objets qu'elle contient. L'ombre est de la couleur courante au niveau du [formule] final, et elle est déplacée de dx, dy (positifs vers la droite et le bas). A la différence de la précédente, elle ombre les composantes de l'objet et non pas le bloc. Comme elle duplique le contenu du bloc, il vaut mieux utiliser la commande précédente s'il faut ombrer un objet de forme rectangulaire (bloc avec fond ou image). Exemples :
[formule] [formule]
[formule] [formule]
[formule] [formule] Le bloc inclus est positionné en x et en y. Le positionnement peut être relatif à la position courante, sinon c'est la distance entre le bloc et les bords de la feuille (bord gauche/haut si x>0 et bord droit/bas si x<0). Si t=0 ou 4 x et y sont relatifs à la position courante, si t=1 y seul est relatif, si t=2 x seul est relatif et si t=3 aucun des deux n'est relatif. Cette fonction est utilisable pour ajuster une position ou (avec la commande [formule]) pour placer un bloc arbitrairement dans la page[formule] [note] . La différence entre t=0 et 4 réside dans le fait que si t[symbol 185]0 le bloc ne prend pas de place dans la ligne courante (ce qui permet de déplacer un bloc de façon importante sans distordre la ligne courante. Par exemple, dans le texte illustrant le chasse ligne, les trois points colorés sont tapés au début de la phrase «Cette commande permet...» avec t=4. Avec t=0, les lignes voisines auraient été écartées et le début de la phrase décalé vers la droite.
Exemple [formule]de note marginale. [formule]
[formule] [formule] Le bloc inclus est tourné d'un angle a (entier en ° dans le sens anti­horaire) et repositionné en x et y. L'argument t à la même signification que pour la macro précedente.
Exemple [formule]de note tournée. [formule]
[formule] [formule] substitué avant lecture par le texte défini par la commande [formule] correspondante. Noter (1) que les arguments sont terminés par des caractères ; car les arguments peuvent ne contenir qu'une partie de macro. (2) le corps d'une macro doit être contenu sur une seule ligne physique, il vaut donc mieux définir une macro utilisateur «début» et une autre macro utilisateur «fin» pour les opérations devant contenir beaucoup de texte. (3) un argument peut éventuellement contenir une autre macro utilisateur. (4) Si une erreur se produit pendant l'expansion d'une macro, la ligne physique après extension jusqu'au point d'erreur est mise dans le tampon ins/del. Il suffit d'enfoncer la touche [Ins] sur une ligne vide pour voir la ligne déroulée jusqu'au niveau de l'erreur (attention aux ligatures éventuellement substituées et aux points de césures insérés automatiquement qui apparaissent comme une commande [formule])
[formule], [formule], [formule] [formule] La première forme met le compteur numéro c à la valeur n, les suivantes incrémentent/décrémentent le compteur c de n. Les numéros de compteurs vont de 1 à 9[formule] [note] .
[formule], [formule], [formule] [formule] Formes équivalentes aux précédentes sauf que les compteurs sont en chiffres romains (limités à 5000) après l'opération. Les macros [formule] ci-dessus remettent le compteur en chiffres arabes.
[formule], [formule], [formule] [formule] Formes équivalentes aux précédentes sauf que les compteurs sont en lettres capitales (1=A, B ... Z, A', B' ... Z',A", B" ... Z"=78) après l'opération. Les macros [formule] ou [formule] ci-dessus remettent le compteur en chiffres arabes ou romains respectivement.
[formule], [formule], [formule] [formule] Formes équivalentes aux précédentes sauf que les lettres sont en minuscule (1=a, b ... z, a', b' .... z', a" ... z"=78).
[formule] [formule] numéro c. (c=0 est permis, le numéro de page courante est inséré, mais attention, la première ligne d'une page est généralement calculée pendant la page précédente...
[formule] [formule] Une constante a un nom de 9 caractères au plus ne commençant pas par un chiffre. (c=0 est permis, mais déconseillé pour la même raison qu'au dessus).
[formule] [formule] de la constante.
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