Les fonds de page correspondant aux 10 niveaux de sécurité peuvent
être soit au format TIM soit au format PostScript.
La remarque formulée lors de la description de la commande F est
toujours valide : le fond doit être en PostScript
si les pages sont transmises en Postscript à l'imprimante.
Il doivent contenir les mentions de protection du secret de rigueur. Ils
peuvent en outre contenir un cadre (cadre de transparent, de rapport),
un logo, et même une couleur de fond différente de blanc.
Comme le fond est imprimé AVANT le contenu, il n'y a pas de risque
de voir une page imprimée sans ses mentions de protection du secret.
Par contre on veillera à ne pas obscurcir les mentions par une figure
(ne pas réduire à zéro les marges hautes et basses). Il
est de plus dangereux de ne pas classer les niveaux de sécurité
par niveau croissant. Par exemple 0=NP sans cadre ni mention (correspondance),
1=NP avec cadre portrait et tampons, 2=NP avec cadre landscape,
3=NP avec cadre transparents, 4=DR avec cadre portrait, 5=DR avec cadre
landscape, 6=DR avec cadre transparents, 7=CD avec cadre portrait,
8=CD avec cadre landscape et 9=CD avec cadre transparents est une
échelle correcte. Par contre 0=NP avec cadre portrait et tampons,
1=DR avec cadre portrait, 2=CD avec cadre portrait, 3=SD avec cadre portrait,
4=NP avec cadre landscape, 5=DR avec cadre landscape, 6=CD
avec cadre landscape, 7=SD avec cadre landscape, 8=cadre transparent
sans mentions et 9=sans fond (correspondance) est une échelle incorrecte...
Certains paramètres cosmétiques peuvent être ajustés à
l'aide des options
à
:
Le paramètre 14 «chevauchement vert. des exposants/indices»
mesure le chevauchement entre le bas d'un exposant (resp. le haut d'un
indice) et le caractère/bloc précédent, mesuré en unité
de hauteur max de la fonte courante au moment où la macro est invoquée.
Ce nombre peut être négatif si l'on veut des exposants très
haut et des indices très bas, par contre au delà de 1, les
exposants ressemblent plutôt à des indices (et vice-versa).
Le paramètre 15 «séparation barre de fraction/racine»
mesure la distance entre le bas d'un numérateur (resp le haut d'un
dénominateur ou l'intérieur d'une racine) et le trait horizontal,
mesuré en unité de la hauteur max de la fonte courante.
Le paramètre 16 «chevauchement vert. des bornes intégrale»
correspond approximativement au paramètre 14 «chevauchement vert.
des exposants/indices» mais pour le signe somme (),
à la distinction prés que la ligne de base des bornes ne descendra
pas en dessous du bord supérieur (resp. ne montera pas au dessus
du bord inférieur) du signe somme. Ce chevauchement est mesuré
en unités de hauteur max de la fonte 1.
Le paramètre 17 «séparation verticale avec lettre/sigma/pi»
donne la distance séparant verticalement la première lettre (pour
la macro ),
le signe
,
,
,
(pour les macros
,
,
et
), ou le
premier argument (macro
)
du ou des argument(s) suivant(s). L'unité est la hauteur max de la
fonte courante.
Enfin le paramètre 18 «épaisseur des barres de fraction/racine»
donnent l'épaisseur des
lignes horizontales de fraction, de soulignement, de surlignement, de tableau
ou de racine. Cela peut être utile d'augmenter ce paramètre (qui
vaut normalement 1) pour les impression de haute résolution ou pour
les transparents pour rétroprojecteurs
Les macros utilisateurs, les constantes et les compteurs sont utiles pour
numéroter les figures, les chapitres, les références bibliographiques,
les notes de bas de page etc. de façon automatique. Par exemple
on peut mettre en début de fichier :
On marque alors toutes les références bibliographiques dans le
style et au
niveau de la bibliographie on met :
puis on entre les références bibliographiques dans le style .
Après une vérification syntaxique (nécessaire pour reporter
les références de la fin vers le début du texte) l'impression
numérotera les références dans l'ordre de la bibliographie
et cette dernière sera paginée comme
Si l'on insère une autre référence avant celleci, tous
les numéros seront décalés automatiquement. Il peut être
astucieux de définir une macro pour les têtes de chapitres que
l'on redéfinira entre la table des matières et le corps du texte
et de rentrer chaque tête de chapitre par la commande
(entrée de table des matières) suivie de la macro d'entête
de chapitre. On peut aussi définir des macros pour les sections,
annexes etc. qui les numérotent automatiquement et dans la table des
matières qui les indentent et les espacent correctement.
Notes : (1) La vérification syntaxique préalable à
l'impression n'est pas obligatoire si toutes les références se
font vers l'avant (dans le cas par exemple où l'on numérote
les équations d'un texte, et que l'on ne fait jamais référence
qu'à des équations précédentes.) (2) La longueur des
numéros insérés peut éventuellement changer la pagination
ultérieure, il faut donc faire une vérification syntaxique AVANT
le calcul de la table des matières ou de la table d'index, si l'on
a des références en arrière.