Garde rapprochée,

film de Stephen Herek (2005)



Avis général : 4/10
:-) Des scènes presque drôles par moments. Ds actrices, euh, adaptées à leur rôle.
:-( Ca reste tout de même très poussif dans l'ensemble. La réalisation n'arrange rien.
Côte nanar : Mouais...

Deuxième film vu dans l'avion au retour d'Australie, et celui-là est déjà sorti en france, certes de façon assez confidentielle, mais ça me laisse autant sur le cul que pour le précédent. Mais cette fois-ci, un copain l'avait déjà vu avant, et m'avair prévenu de la qualité du contenu.

Tommy Lee Jones est un texas ranger, un vrai, un qui n'a pas peur de l'action et qui se bat pour le respect de la loi. Justement, il traque en ce moment un gros vilain, mais, pas de chance, celui-ci se fait flinguer dans une ruelle déserte. Enfin, presque, car cinq pom-pom girls ont tout vu (mais ne se souviennent de rien). Tonton Tommy va emménager chez elles pour les protéger.

Au générique, on a vraiment très peur. C'est du mauvais film d'action, mais surtout le réalisateur essaie de faire son kéké avec des écrans splittés de partout, c'est quasiment inregardable. Heureusement, au bout d'un petit quart d'heure, on entre dans la partie "comédie" du film et ça va mieux. Pas que ça casse trois pattes à un canard, mais au moins, ça ne cherche pas à être plus que ce que ça n'est. Tommy Lee Jones cabotine, les filles semblent avoir été séléctionnées sur des critères à base d'optimisation du rapport tour de poitrine sur QI (elles sont très bien), les situations sont faciles mais parfois amusantes (quand notre ronchon décide d'installer la clim pour forcer les nanas à s'habiler un peu plus chaudement...). La scène où le ranger se fait piloter par ses protégées pour draguer la prof d'anglais de l'yune d'elles fait même presque pencher le film vers le côté nanar de la force.

Le réalisateur ne peut pas s'empêcher de recaser un peu d'action vers la fin car il faut bien finir le film, mais c'est moins mauvais qu'au début, et on repart pour un somme une fois le film fini en étant pas totalement désespéré par ce qu'on vient de voir.

Roupoil, 1 septembre 2005.



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