Les paramètres avec § dans la liste ci-dessus ne sont modifiables
que par édition du fichier .pmathrc, les autres sont
modifiés par des commandes de pMATH si l'on sauve une configuration.
La configuration est modifiée en changeant la géométrie de
la fenêtre (lignes 1 et 2), par les menus «Options» (lignes
3, 28, 29, 30, 31 et 64) et «Fontes» (lignes 18 à 27),
fonte de travail), soit enfin en compilant une mise en page (lignes 33
à 52 et 63 mais aussi les lignes 18 à 27 qui sont laissées
dans les conditions à la fin de l'impression).
Sauf pour les lignes 32, 36 et 65 à 71, tous les caractères
suivant le premier espace sont ignorés (commentaires). Notes particulières :
Lignes 1 et 2: en pixels écran. Lignes 5 et 6: couleurs
à l'écran du trait et du fond des caractères «ordinaires»
données par leurs codes easyX11 (1=bleu, 2=vert, 3=rouge, 4=blanc,
5=noir et 6=gris) Lignes 7 à 12: les caractères spéciaux
sont ceux de la fonte auxiliaire (la fonte 1 au démarrage) qui
est généralement utilisée pour les symboles mathématiques
mais peut avoir un autre usage (p.ex. les caractères cyrilliques)
car les caractères de cette fonte sont affichés dans l'éditeur
comme ils apparaissent à l'impression et non comme les caractères
de même code de la fonte de visualisation à l'écran (voir
ligne 64). Lignes 11, 12 et 13: caractère et sa couleur utilisé
à la place de l'espace «ordinaire» (personnellement je met
un point vert pour pouvoir compter les espaces). Lignes 16 et 17:
La couleur «fond» est utilisée pour les ascenseurs, les menus
déroulants les commentaires du mode d'emploi etc. Ligne 32: si
la valeur est suivie de «/cm» pMATH utilise les centimètres
pour les commandes et le reste du fichier de configuration, sinon pMATH
comprend les dimensions en pouces. Lignes 53 à 62: Les fichiers
correspondants ne doivent pas nécessairement être encapsulés,
car le fond de page sera ajusté aux dimensions de la feuille. On
peut très bien utiliser pMATH pour faire un fond de page ! Noter
que les traits «clipés» sont pris en compte dans l'ajustement
de l'échelle (c'est ce qui permet d'avoir un fond de page qui ne
couvre pas nécessairement toute la surface de la feuille). Lignes 65
à 71: Il faut être extrêmement prudent pour modifier ces
lignes (et connaître le langage PostScript) Les caractères sont
définis de façon arbitraire sur un espace 10001000
et sont mis à une échelle double de celle de la fonte 1
pour les caractères 0 à 5, le caractère 6 est recalculé
à chaque usage en fonction de la taille de ce qui est dans la
racine, les autres caractères sont mis à l'échelle de la
fonte 1.
Les dimensions de la fenêtre pMATH peuvent généralement être
modifiées à partir du window manager par exemple sous twm,
la commande f.resize (par défaut, cette commande est
dans le menu appelé en cliquant sur le fond d'écran avec le
bouton de droite) permet de changer la taille d'une fenêtre. Généralement
pMATH met quelques secondes à se reconfigurer, donc soyez patient
si vous faites plusieurs f.resize à la suite par exemple
en bougeant les quatre coins d'une fenêtre...
Pour changer les dimensions relatives des sousfenêtres, utiliser
la huitième ligne du menu «Options».
Pour changer la fonte de caractère courante, les commandes et les
échelles de visualisation/impression, utilisez le menu «Options».
Pour rappel, l'échelle 0 correspond à une sortie Postscript
une par une de toutes les pages sélectionnées dans un seul fichier
pmath.out.PS définissant aussi le nombre de copies. La
commande d'impression est appelée une fois par page en fin d'impression.
Les autres valeurs (entières) de l'échelle correspondent à
une sortie sous forme d'images TIM ou SunRaster à «échelle»
points par pixel. Ces sorties sont successives (une par page) dans les
fichiers pmath.out.1 et pmath.out.inf (éventuellement
pmath.out.2 et pmath.out.3 si l'option couleur
est sélectionnée ou pmath.out.ras en mode SunRaster).
La commande d'impression est alors appelée une fois par page.
Les autres paramètres de configuration, sauvegardés par la ligne
«Sauve la configuration» du menu «Options», sont ceux
valides à l'issue (c'estàdire sur la dernière
page) de la dernière impression/visualisation/vérification effectuée,
à l'exception toutefois du numéro de la première page qui
correspond à celui de la première page imprimée/visualisée/vérifiée.
(voir le chapitre commandes d'impression pour le détail sur
ces modifications)