Tiens, un autre quatuor de Beethoven dans cette liste. Ben oui, tous les
quatuors mériteraient presque leur place, le choix n'a pas été facile.
Pour cette fois, on pioche dans les grandes oeuvres de la fin de
carrière du plus musicien des sourds.
Bien sûr, le treizième est un monument (même si je ne suis pas plus fan
que ça de sa grande fugue), le quinzième est considéré par certains
(mais pas moi !) comme le chef-d'oeuvre absolu de Beethoven, et le
seizième est une admirable conclusion au cycle, mais mon coup de coeur
personnel, c'est ce quatorizème, avec son dernier mouvement tranchant
comme une lame de rasoir.