Franz Liszt (1811-1886) : Du Berceau jusqu'à la tombe



Franz Liszt

De Liszt, on retient volontiers la vie un peu agitée, du virtuose dragueur à l'abbé des dernières années, éventuellement, si on veut bien se pencher du côté du compositeur, son oeuvre pour piano, mais moins sa contribution pourtant primordial à un genre qu'il a, sinon inventé, du moins popularisé, le poème symphonique. Liszt n'a jamais écrit de vrai symphonie (du moins pas dans leur modèle traditionnel), mais il s'est aventuré une grosse dizaine de fois dans ces oeuvres orchestrales à programme d'assez grande envergure.

Tous les poèmes symphoniques de Liszt méritent une réhabilitation, le plus connu, Les Préludes, étant d'ailleurs loin d'être le plus intéressant. Mais dans le lot, ma préférence va nettement à cette oeuvre assez tardive, découpée en trois parties assez indépendantes. Le thème central en est furieusement entrainant.




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