Quelques photos de mon voyage en Allemagne
Chaque année, c'est la même chose : en revenant de vacances,
on est hyper enthousiaste, on se promet de faire une superbe page photos avec
un véritable roman en guise de commentaires. Et puis deux semaines plus tard,
on se rend compte que le tri des photos est à peine commencé, qu'on ne se
souvient plus vraiment de tous les détails qui nous avaient semblé essentiels
en cours de voyage, bref qu'on va faire un truc moisi à l'arrache. Bon, ceci
dit, ce n'est pas une raison pour ne pas le faire, allons-y donc.
Dimanche 3 Juillet : Nous partîmes donc en ce premier dimanche de
juillet, avec armes et bagages, euh pardon avec bébé de 18 mois et bagages,
en direction de la gare de l'Est pour notre premier grand périple familial
(parce que l'an dernier quand même, rester en France et chez des amis c'était
un peu de la triche). Un vague sentiment d'inconscience peut-être au moment
de s'embarquer pour trois semaines à l'étranger avec notre petit bout, mais
on a en tout cas réussi à maintenir les bagages à un volume supportable : un
gros sac, la poussette et ses compléments (sac à langer, et le désormais
mythique sac à frais, à savoir un sac isotherme pour faire semblant de garder
la bouffe de Raphaël dans un état présentable quand on part pour la journée),
un porte-bébé dorsal assez impressionnant, et un petit sac à dos bien rempli.
Comme on est des oufs, on prend l'option RER jusqu'à gare du Nord pour
rejoindre la gare de l'Est, histoire de se prendre un bel escalier à pied
entre les deux gares. Bon, ça va, on gère. Et on arrive évidemment nettement
en avance pour prendre notre matinal TGV (7H et des brouettes, on s'est levés
invraisemblablement tôt) vers Stuttgart via Strasbourg. On est dans un espèce
de carré famille avec une autre famille près de nous (une mère et ses deux
gamins), c'est parfait pour occuper Raphaël pendant les quatre heures de
trajet.
Une fois arrivés à Stuttgart, Raphaël se décide à s'endormir et on ne traine
pas pour ne pas rater notre correspondance vers Munich (qui va en fait
attendre tranquillement tout le monde avant de partir). Encore deux petites
heures de chemin de fer, et nous voilà arrivés à notre première destination.
L'hôtel est très proche de la gare, et nous a réservé une chambre super grande
(il y a même deux télés, c'est dire !) avec un joli lit bébé pour Raph. Bref,
c'est parfait, si ce n'est peut-être que le temps a l'air assez grisâtre. Ca
ne nous empêche pas de faire une première sortie pour tâter le terrain. Munich
est une ville assez agréable mais sans monuments très spectaculaires, si ce
n'est peut-être le Neue Rathaus (l'Alte, qui est sur la même place, étant
théoriquement plus vieux, mais en pratique refait plus récemment et nettement
moins intéressant). Comme tous les touristes, nous admirons béatement le
petit manège grotesque du carillon à cinq heures.
Première soirée et premier resto, ce n'est pas hyper animé le dimanche soir,
nous optons finalement pour une brasserie typiquement bavaroise, aux mets
aussi bons que diététiquement subtils. Je me fais un bon plat de saucisses,
Raph est assez calme, c'est une bonne première expérience. Un bon dodo, avant
notre première journée complète.
Lundi 4 Juillet : Comme dans tout hôtel qui se respecte de nos jours,
le petit déjeuner est constitué d'un grand buffet regroupant à peu près tout
ce que quelqu'un de normalement constitué peut avoir envie de manger, sucré
comme salé, le matin en se levant. Ah non tiens, y a pas de masala dosai
(ceux qui ont déjà fait un tour en Inde comprendront). Bref, c'est pas mal et
ça remplit correctement le bide. Pour notre première excursion, nous prenons
BOB (une compagnie de trains bavaroise privée ; en tout cas les gares et trains
allemands sont fort bien organisés) pour rejoindre Tegernsee, une charmante
localité à une heure de train de Munich, au bord du lac du même nom (pour les
moins familiers de la langue de Goethe, tout ce qui se finit par See est plein
de flotte). Un petit sandwich pris en passant et dégusté au bord du lac, un
paquet de couches acheté sur place parce qu'il fallait bien qu'on oublie de
prendre quelque chose en partant le matin, puis une bonne balade autour du lac.
Il fait fort beau, les maisons qui ressemblent à des chalets puent le fric mais
sont belles, bref tout va bien. Et comme on ne change pas une équipe qui gagne,
on dîne dans la même taverne qu'hier.
Mardi 5 Juillet : Nouvelle journée, nouvelle excursion. Au programme
cette fois-ci, Herrenchiemsee. Ah, se diront ceux qui ont suivi, encore un
lac ! Et oui, mais non, ou plutôt pas seulement, puisqu'il s'agit surtout
de notre première rencontre avec Ludwig II, le fameux roi bavarois qui
aimait passionément la musique de Wagner et les châteaux et dont la fin
tragique a sûrement contribué à forger sa légende. Quoique, en fait, les
châteaux auraient suffi. Nous débutons donc notre tour avec son dernier
projet, un hommage à Louis XIV perdu sur une île au milieu d'un lac. Pour s'y
rendre, train, pieds, ferry, à nouveau pieds (avec une pause sandwich entre
deux), c'est un peu long, mais nous y voila. déjà, en arrivant, drôle
d'impression d'avoir devant soi une réplique de Versailles inachevée (ce qui
est exactement le cas, de fait) : il manque des ailes au château, et les
vastes jardins prévus se réduisent à une allée avec des plans d'eau. En
attendant l'heure de la visite, nous ne nous baladerons pas trop dans les
jardins, car il pleut, et Raph en profite pour faire le fou. D'ailleurs, il
va vouloir continuer au début de la visite guidée, ce qui est un peu gênant.
Une légère crise de sa part plus tard, on visite plus calmement, mais en
s'éloignant de l'étudiante qui commente (enfin, on supposera que c'est une
étudiante, sa maîtrise de l'anglais étant relativement aléatoire), du coup
on n'a pas tout suivi. Mais en gros, ça ressemble vraiment à un château
du 17ème construit avec deux siècles de retard. On y retrouve notamment une
très longue galerie des Glaces. Pas exceptionnellement passionnant, mais
rigolo. En repartant, il nous faut retraverser le bois pour rejoindre le
ferry. Rien de palpitant là-dedans, du moins tant qu'il ne pleut pas, car nous
prendrons notre première saucée du séjour. Une bonne occasion de vérifier
l'imperméabilité de nos K-Ways. Soirée sans histoire, mais Raph nous fait un
peu de fièvre cette nuit, on espère que ce n'est que passager.
Mercredi 6 Juillet : Programme plus tranquille aujourd'hui, avec un
château certes, mais dans Munich, le Nymphenburg (lieu de naissance de ce cher
Ludwig II, mais comme il ne lui a rien fait ensuite, c'est moins intéressant).
L'occasion de prendre le tram, d'admirer plein de volatiles dans les très beaux
jardins (qui comportent d'ailleurs eux-même quelques bâtiments de plus ou
moins grande envergure), et de ne pas visiter le château. Bref, une journée
assez tranquille, avec bonne détente et l'occasion pour Raph de jouer avec
tout un tas de bâtons et autres cailloux. Après un retour à la case hôtel,
nous ressortons faire un tour dans l'Englisher Garten, immense jardin public
munichois, où on croise entre autre des écureuils, des surfers et des vieux
papys faisant bronzette à poil. Bref, des trucs plus ou moins mignon et/ou
surprenants. La nuit sera ... assez agitée, Raph ayant de plus en plus de
fièvre et du mal à dormir.
Jeudi 7 Juillet : Conséquence du point précédent, cette dernière
journée entièrement munichoise voit son programme légèrement moins touristique
que les précédentes. Quoique chercher un pédiatre dans une ville inconnue
soit aussi une forme de tourisme. Après avoir obtenu péniblement des
renseignement à la pharmacie du coin, puis avoir parcouru la moitié de la
ville pour trouver une première porte close, nous débarquon chez le docteur
Müller (mais non, pas le méchant dans Tintin) au moment où il est censé
achever ses consultations de la matinée. Comme il est gentil, il nous prend
quand même, je baragouine en allemand avec lui (alors que j'ai tchatché
anglais aux secrétaires, qui ont du coup du croire que je me foutais d'elles),
il trouve une petite otite à Raph (on ne s'y attendait absolument pas, c'est
rien que sa quinzième ou à peu près), nous prescrit des antibios mais nous
précise que ça devrait passer tout seul, et qu'on ferait mieux d'attendre
deux ou trois jours avant d'y recourir. Bon, on verra bien (en fait, il avait
raison, on ne s'en est pas servi)... La journée est relativement avancée,
nous décidons donc de nous contenter d'une nouvelle balade dans la ville.
Grimpette en haut d'une église pour moi, pas de visite du musée du jouet
parce que Raph s'est endormi au mauvais moment, et si je me souviens bien
c'est ce soir-là qu'on a mangé pour la troisième fois au même endroit (on me
signale qu'en fait non, mais peu importe. On peut d'ailleurs confirmer que la
cuisine bavaroise est bonne, mais pas très légère, après un Schnitzel et un
Strudel on n'a vraiment plus faim !
Vendredi 8 Juillet : Comme on a déjà passé largement assez de temps à
Munich, nous prenons le train dès le matin en direction de notre seconde étape
allemande : Garmisch-Partenkirchen (je ne vais pas réécrire le nom 36 fois).
Voyage agréable, le relief devient plus montagneux, et nous arrivons dans la
station sous un beau soleil. L'hôtel n'est pas franchement à côté de la gare,
mais ça nous donne l'occasion d'admirer la ville, qui est très belle. Bon,
évidemment, ça fait un peu station de ski snob qui pue le fric, mais les
grosses maisons bavaroises aux façades peintes et les Alpes en arrière-plan,
ben c'est quand même très sympa. Quand nous arrivons dans notre auberge, ils
sont en plein service du déjeuner (à peu près tous les hôtels ici sont aussi
des restos), nous allons donc nous sustenter un peu plus loin (très bon, et
comme d'hab hyper léger) avant de découvrir notre chambre, qui est tout à fait
convenable (y a juste un truc dont on se rendra compte, c'est que Raph n'aime
pas, mais alors vraiment pas, prendre une douche avec le pommeau directement
sur lui, on rusera pendant tout le reste du voyage pour arriver à le laver
sans trop de cris).
Comme la journée n'est pas tout à fait achevée, je propose une petit balade
vers le Partnachklamm, une gorge assez spectaculaire formée par la rivière
locale. C'est sympa, c'est beau, et on voit plein de belles maisons en
passant. Mais on aurait peut-être du être un poil plus effrayés par les nuages
et quelques gouttes de pluis reçues à l'aller. Au retour, ça se transformera
en bon petit orage qu'on se prendra joyeusement en pleine poire. On rentre à
l'hôtel assez sévèrement mouillés.
Pour le lendemain était prévue notre nouvelle journée "ludwigienne" du séjour,
avec la visite du château de Linderhof, qui supposait de prendre un bus à
9H30 et donc de se lever assez tôt. Pourquoi diable est-ce que je vous parle
de ça maintenant ? Tout simplement car cette première nuit à Garmisch a
légèrement perturbé nos plans. Déjà, Raph ne veut pas s'endormir, et nous
finissons par recourir à la méthode éprouvée de la balade en poussette pour
lui faire rejoindre les bras de Morphée. Il est à peu près minuit quand nous
commençons vraiment notre nuit. Bien courte nuit, puisque vers 2H30, Raph se
réveille et décide de mettre un souk pas possible dans la chambre au lieu de
se rendormir, et ce pendant un temps interminable. Nous avons du nous
rendormir tous les trois un peu après les 5 heures du matin, et après quelques
passages avec grosse tension dans l'air où on se demandait franchement si on
n'allait pas reprendre illico le train pour Paris. Ce ne sera finalement pas
le cas (ouf), mais quand le réveil sonne à 7H30, personne n'est très motivé
pour se lever...
Samedi 9 Juillet : Changement de plan donc, tant pis pour Linderhof.
Après un réveil tardif et un excellent déjeuner en face de la gare, nous
décidons de nous rabattre pour l'après-midi sur une valeur sûre : la balade en
bord de lac. La recherche du bus menant au lac visé (l'Eibsee) fut assez
compliquée (à vrai dire, on est finalement tombés dessus complètement par
hasard), mais la balade tout à fait enchanteresse. Tour complet du lac (si je
me souviens bien, de l'ordre de 7 kilomètres) sur un sentier ombragé, avec
une eau cristalline en-dessous de nous et de superbes vues sur le Zugspitze
(le point culminant de l'Allemagne), on ne regrette pas trop l'affreuse nuit
de Raph (qui, bizarrement, a dormi quasiment tout le long de la balade...).
Et il a même fait beau !
Dimanche 10 Juillet : La nuit a été nettement meilleure que la
précédente (c'était pas dur), et nous sommes requinqués pour ... prendre le
bus de 9H30 (cette fois-ci c'est pas une blague), direction Füssen. Le bled
en question n'est pas extrêmement loin à vol d'oiseau, mais le bus s'arrête un
peu partout et met donc trois heures à nous mener à destination. La nature
bavaroise étant très belle, on ne s'en plaint pas. On a même un aperçu sur la
Wieskirche (église baroque qui attire apparemment des millions de visiteurs)
lors d'un arrêt, et un premier panorama sur Neuschwanstein en arrivant à
Füssen. Neuscwhanstein, pour ceux qui l'ignoreraient, c'est une des folies
du bon Ludwig II, et la principale raison de notre séjour à Füssen, petite
ville sans grand intérêt.
L'accueil à l'hôtel est en tout cas fort bon, Raph adore le téléphone de la
chambre, et on a le temps d'aller manger un copieux plat italien (ça change
un peu) et une bonne glace (Raph adore) avant une première grosse averse, qui
me vaut une visite approfondie de la gare de Füssen, où j'étais allé vérifier
des horaires et prendre nos billets de train pour le surlendemain. Le soleil
revenu, nous décidons de faire une petite balade en porte-bébé dorsal,
histoire de voir si j'arrive à ne pas me ruiner le dos en le gardant un temps
non négligeable (la réponse sera essentiellement non, et le porte-bébé ne
resservira donc pour ainsi dire pas). Direction un lac dans les alentours,
aller tranquille. On se prend un petit goûter à l'intérieur car quelques
gouttes d'eau ont fait leur apparition. On attend que ça se calme un peu pour
repartir, mais hélas pas assez, le trajet du retour fait une demi-heure sans
véritable abri, et l'orage qui menaçait va nous tomber violemment dessus.
Deuxième saucée du voyage, encore pire que la première, j'étais en pantalon
léger, on voyait fort bien mes sous-vêtements à l'arrivée. Les chaussures de
deume sont ruinées, le sac à dos plus que trempé (finalement, on arrivera à
le sauver), bref c'est un peu la cata en revenant à l'hôtel. On met tout à
sécher et on se repose car on a du château à visiter le lendemain !
Lundi 11 Juillet : Nos billets étant réservés à l'avance, nous n'avons
qu'à aller récupérer nos horaires de passage devant l'entrée du premier
château (oui, il y en a deux), celui d'Hohenschwangau (faudrait penser à
abréger les noms pour les touristes). Nous avons décidé de faire les deux
visites (guidées), les horaires sont imposés et on prie pour qu'il ne pleuve
pas car il y a un petit bout de chemin à faire entre les deux visites et la
fenêtre horaire n'est pas hyper large (sans compter qu'on devra bouffer).
Il y a déjà une petite grimpette pour atteindre le premier château, pendant
laquelle un affreux malheur a bien failli nous arriver. Zébulon, le lion
fétiche de Raph (enfin, habituellement son doudou c'est Pluto, mais on a eu
besoin d'un ersatz pour quelques jours suite à un accident vomitesque), est
tombé de la poussette sans qu'on s'en aperçoive ! Course effrénée de papa
pour tenter de le retrouver au milieu des hordes de touristes ... et réussite
de l'opération, il prenait la pose pour une photo grotesque d'un groupe de
nénettes allemandes. Ouf !
Il faut laisser la poussette pour la visite (et donc porter Raph dans les
bras si on ne veut pas lui courir après tout le temps), le château familial
d'Hohenschwangau n'a pas trop été arrangé par Louis II, mais on voit qu'il
avait de qui tenir. Après une bonne grimpette (mine de rien, la poussette,
on la sent...), deuxième visite ... en allemand pour cause d'affichage en
panne à l'entrée et d'absence totale d'information de la part du personnel
(est-ce bien sérieux vu le monde qui se presse ici ?). L'intérieur de
Neuscwhanstein est grotesque (inspiré par les opéras de Wagner) mais au fond
pas palpitant, surtout l'enfilade interminable de couloirs et boutiques de
souvenir qu'on est obligés de se farcir pour ressortir ensuite (le fait que
Raph se soit endormi dans mes bras, que ça me faisait mal et que j'avais pas
envie de le réveiller n'a certes pas aidé). La vue sur le château depuis le
Marienbrücke, elle, est par contre à la hauteur de sa réputation (et des
très nombreuses cartes postales qu'elle a inspiré). Qui plus est, pas une
goutte de pluie aujourd'hui, donc une journée tout à fait agréable. On fait un
petit tour des boutiques en redescendant (le bled d'Hohenschwangau ne vit que
par le tourisme), et on dine dans un resto bavarois à Füssen. Je vous avais
déjà dit que la cuisine locale n'était pas légère, là on explose tous les
records. On avait prévu de prendre un dessert après le plat, mais je n'ai
pas pu finir le plat tellement c'était monstrueux (trois morceaux de viandes
sur une petit poêle remplie de spätzle gratinés au fromage, bon mais y avait
à bouffer pour trois).
Mardi 12 Juillet : Encore une journée consacrée au voyage aujourd'hui.
Mais vraiment cette fois-ci, avec une matinée dans le train pour rejoindre
Lindau, petit ville tout au Sud-Ouest de la Bavière, au bord du lac de
Constance (que les germanophones appellent Bodensee, alors qu'ils appellent
lac de Genève le lac Léman, curieux tout ça). L'après-midi sera d'ailleurs
passée dans le bateau qui nous amène jusqu'à Constance. Traversée un peu
longuette, surtout que Raph était fatigué mais ne voulait pas s'endormir, mais
très agréable. Le soir, nous aurons juste le temps de nous installer
tranquillement dans notre nouvel hôtel (on est receptionnés par un gars qui
donne envie de s'enfuir en courant, mais la chambre est correcte, il y a
même une douche qui plait à Raph !) et de dîner dans un resto de tartes
flambées ... ou pas (on a mal géré la limite de la terrasse du coup on s'est
retrouvés dans l'italien d'à côté). Nous sommes encore en Allemagne, mais
comme nous ne ferons que dormir à Constance avant de traverser la frontière,
la suite de nos aventures se trouve en Suisse.
- Photo 01 : La place centrale de Münich, et son Neue Rathaus qui,
malgré son nom, n'est plus vraiment tout jeune.
- Photo 02 : Cette année, en vacances, on recherche le calme et la
verdure. Objectif atteint.
- Photo 03 : En début de séjour, on a encore assez de soleil pour
que deume puisse faire sa star avec ses lunettes et son bob.
- Photo 04 : Un détail du Neue Rathaus de Münich.
- Photo 05 : Première expédition du voyage, le Tegernsee.
- Photo 06 : Certaines maisons dans le coin font vraiment envie.
Y a des postes en prépa disponibles en Bavière ?
- Photo 07 : Encore le Tegernsee, avec des bouts d'arbre pour
améliorer la photo (il parait que je suis un maniaque des bouts d'arbre dans
mes photos).
- Photo 08 : Toujours le Tegernsee, j'aime bien les lacs aussi.
- Photo 09 : Herrenchiemsee, la dernière folie de Ludwig II,
calquée sur Versailles.
- Photo 10 : Une dernière pour la route de ce cher Tegernsee (j'en
ai pas gardées autant pour chaque lac, sinon y en aurait des centaines).
- Photo 11 : Du bois, des fleurs, ça a l'air vraiment très agréable
à vivre.
- Photo 12 : Une pièce d'eau dans les jardins très inachevés (mais
très versaillais) d'Herrenchiemsee.
- Photo 13 : Un autre château, à Munich, celui de Nymphenburg où
est né Louis II.
- Photo 14 : Très beaux jardins ici aussi, et là ils sont tout à
fait achevés.
- Photo 15 : Le Nymphenburg, de trois-quarts.
- Photo 16 : Et le même, presque de face, avec quelques canards au
premier plan.
- Photo 17 : Dans les vastes jardins du Nymphenburg se planquent
deux ou trois bâtiments.
- Photo 18 : Un écureuil casse la graine dans l'Englischer Garten,
à Münich.
- Photo 19 : Un grand classique de notre voyage, le train.
- Photo 20 : Une vue de l'Englischer Garten, le gigantesque parc
de Münich.
- Photo 21 : L'Alte Rathaus qui, si vous avez bien suivi, est le
cousin du Neue, mais en fait plus récent car refait.
- Photo 22 : Une des portes restantes de la vieille enceinte de
Münich (ne me demandez pas le nom, je ne sais plus, peut-être l'Isartor en
fait).
- Photo 23 : On change de paysage avec l'arrivée à Garmisch (ou
plutôt à Partenkirchen si on veut être exact).
- Photo 24 : La station est vraiment très agréable, surtout par beau
temps.
- Photo 25 : Deume a décidé d'acheter ce modeste chalet à Garmisch.
En attendant de gagner à l'Euromillion, on pourra toujours essayer de venir
y passer une semaine de vacances.
- Photo 26 : Un tremplin de saut à skis l'été, ça surprend (et ça
se visite, apparemment, puisqu'il y avait des gens dessus).
- Photo 27 : À deux pas de Garmisch, la gorge de Partnachklamm.
- Photo 28 : C'est plus impressionnant en vrai qu'en photo, j'ai
quand même tenté ce cliché pseudo-artistique.
- Photo 29 : Le retour du lac, ici l'Eibsee près de Garmisch.
- Photo 30 : Depuis l'Eibsee, une vue imprenable sur le Zugspitze,
point culminant de l'Allemagne.
- Photo 31 : Il y a de belles petites plages et même des baigneurs
au bord de l'Eibsee (ça doit pas être très chaud, mais je ne peux pas vous
dire, on n'a pas testé).
- Photo 32 : Un morceau d'Eibsee avec les montagnes derrière, tout
ce qu'il faut pour être heureux.
- Photo 33 : Allez, on sourit ! Bravo au touriste photographe qui a
manifestement complètement géré les réglages de notre appareil entre son
premier essai (moins convaincant) et celui-ci.
- Photo 34 : Quelques nuages pour cette balade, mais un temps
largement assez dégagé pour bien profiter du spectacle.
- Photo 35 : On voit bien la montagne également depuis les petites
rue de Garmisch (que nous avons arpentées plusieurs fois, y compris de nuit,
merci Raphaël...).
- Photo 36 : À la couleur, on reconnait le château d'Hohenschwangau.
- Photo 37 : La gare de Garmisch est posée dans un décor assez
splendide.
- Photo 38 : Depuis le bus, un cliché pas si pourri de la
Wieskirche.
- Photo 39 : La campagne bavaroise, c'est vraiment très vert dans le
coin.
- Photo 40 : Au bord du Forggensee, près de Füssen, l'orage menace
(et ne tardera pas à nous tomber en plein sur la tronche).
- Photo 41 : Vue d'ensemble du château jaune d'Hohenschwangau.
- Photo 42 : Dans la cour du château d'Hohenschwangau, une belle
fontaine avec les lions.
- Photo 43 : Depuis Neuschwanstein, on a une très belle vue sur les
environs. Ludwig II a bien choisi son emplacement.
- Photo 44 : On voit notamment l'Alpsee, joli petit lac de montagne.
- Photo 45 : LA photo à ne pas manquer de Neuschwanstein. Bon, tous
les touristes qui y sont allés ont fait la même, mais celle-là c'est la notre !
- Photo 46 : Le plus gros LEGO du monde, le château de
Neuschwanstein (ça fait vraiment cet effet...).
- Photo 47 : La façade arrière de Neuschwanstein, au milieu de la
forêt.
- Photo 48 : Deume se fait immortaliser devant Neuschwanstein.
- Photo 49 : En quittant Lindau, une vue sur la sortie du port
(chouette, encore un lion !).
- Photo 50 : Hohenschwangau est un peu moins perché que
Neuschwanstein, mais un peu quand même.
- Photo 51 : Vue du port de Lindau depuis le bateau.
- Photo 52 : Toujours sur le lac de Constance en bateau.